Après la comédie : « Une heure de tranquillité » c’est la deuxième fois que les Maudits Gones choisissent Florian Zeller. Cette fois il s’agit de la pièce « le Père » créée en 2012 au Théâtre Hebertot à Paris et qui a reçu plusieurs Molières.

André n’est plus tout jeune, il se révèle être un personnage présentant les premiers signes de perte de mémoire... C’est ce qui pousse Anne, sa fille, à lui proposer de s’installer dans le grand appartement qu’elle occupe avec son mari. Elle croit ainsi pouvoir aider ce père qu’elle a tant aimé.

Mais les choses ne se passent pas tout à fait comme prévu.

Une mise en scène qui fait preuve d’astuce et de légèreté pour traiter un sujet quelque peu risqué dont le maitre mot est dignité.

C’est drôle et émouvant.