Une grande pelote de fil rouge parcourt des moments de vie : elle trace son chemin, se perd, s’emmêle, tourne en boucle, cherche un détour.
Par le geste dansé et par le son, en boule, en ligne, tout en arrondi, Ffff est un voyage sensible qui évoque les expériences que nous traversons pour grandir.
Giulia Arduca avait présenté son solo Danse à la carte au Tout-petit festival en 2016. Ici, elle propose un duo chorégraphique et musical où les spectateurs-trices se retrouvent dans une grande proximité avec la danseuse et le musicien. L’occasion de vivre une expérience visuelle, sonore et sensorielle inédite.
Cette histoire de fil rouge, empreinte de poésie, ouvre de multiples lectures pour stimuler l’imaginaire dès le plus jeune âge.
Daniel s’est brûlé les yeux lors d’un séjour aux sports d’hiver. Il doit rester dans l’obscurité totale pendant quelques jours.
Une nuit, il est réveillé par un cri et des râles venant de la rue. Il se précipite à la fenêtre mais ne voit rien. L’assassin, lui, l’a très bien vu. Daniel court désormais un terrible danger.
Le théâtre est ici au plus près des spectateurs : tout se joue sur une table derrière laquelle deux comédiens assurent tous les rôles et déclenchent les effets techniques en direct.
Ce polar insolite est vivement recommandé à tous ceux qui adorent se faire peur !
MacGyver, Brad Pitt, Cindy Crawford… Enora Boëlle parcourt ses souvenirs d’ado au travers des visages qui tapissaient les murs de sa chambre. Pêle-mêle se juxtaposent les références culturelles avec lesquelles elle a grandi : la mort de Kurt Cobain, le modèle inatteignable de la pom-pom girl, le premier concert de NTM… À l’aube de la vie d’adulte cohabitent les rêves et les idéaux. Enora Boëlle se remémore avec autodérision et tendresse cette période charnière où l’on s’affirme sous le regard des autres. Simple et sensible, sa démarche se prolonge et creuse la question de la construction de l’identité. Entre introspection personnelle et brutalité des rapports sociaux, elle cherche les traces de son adolescence et montre ce qu’il en reste dans un corps d’adulte.
Avec 10:10, la cour de récré se transforme en territoire à danser… Un carré de sable, trois danseurs, un musicien, et c’est parti pour une heure de courses, de disputes, de jeux de ballon, de marelles et de dessins dans le sable. Tirer une tresse, jouer à saute-mouton, mettre ses doigts dans le nez, dribbler, bouder et se rouler par terre, toute l’énergie enfantine se décline en chorégraphies tantôt suspendues, tantôt acrobatiques au son de la batterie et de la rumeur lointaine des rigolades.
Caroline Cornélis porte un regard chorégraphique sur la cour de récréation, véritable laboratoire de relations humaines, où les enfants jouent, s’organisent, luttent ou se replient.
Un spectacle réjouissant qui met en lumière la capacité des enfants à inventer toutes sortes de jeux incroyables avec trois fois rien !
Ronan Le Gouriérec crée une version scénique du spectacle Baribulles. Et quitte à jouer avec les sons, autant le faire avec deux saxophones : le baryton et le soprano.
Cette proposition plonge les spectateurs dans un univers poétique, drôle et décalé où les musiciens utilisent toutes leurs palettes sonores. Entre musique écrite et improvisée, tantôt bruitiste, tantôt mélodique, un peu furieuse mais aussi apaisée, drôle, triste... Les deux saxophonistes intègrent l’espace, en jouant sur leurs différences et leurs points communs. Une complicité se crée, les instruments s’échangent, et de nouveaux mondes sonores apparaissent.
Un soir, Liam, couvert de sang, interrompt un dîner chez sa soeur et son beau-frère. Le couple veut comprendre ce qui s’est passé, mais le récit du garçon est confus. Les certitudes de chacun vont alors voler en éclat et l’intimité familiale se gangréner devant le poids de la responsabilité. Mensonges, non-dits, petites lâchetés et passé inavouable refont surface, la tension monte !
Installé au plus près des comédiens, le public plonge au coeur de l’intrigue à la fois dedans, au plus profond des émotions et dehors, par une visibilité des artifices théâtraux. Pris à parti par chaque protagoniste, le spectateur est tenu en haleine dans cet affrontement psychologique et social et ressort de ce spectacle abasourdi.
Depuis près d’un an, le Groupe artistique Alice sillonne le territoire à la rencontre des habitants pour questionner leur façon de se déplacer et leur rapport à la voiture : est-ce un objet de liberté ou de contrainte ?
Nourrit-elle des rêves ou des cauchemars ? Quelles alternatives se présentent à la bagnole ?
C’est autour de ces questions que la présence du Groupe Alice s’est organisée, entre échanges, débats, étonnements et pas de côté.
Le confinement soudain a placé Travel(l)ing dans une urgence, une crise sociale, qui interroge la question de la mobilité en milieu rural et notre rapport à la voiture individuelle. Au travers d’entretiens
avec des habitants aux horizons différents, le Groupe Alice se projette dans un futur devenu brutalement très concret pour écrire un spectacle de docu-fiction à la croisée du théâtre et du cinéma.
Depuis près d’un an, le Groupe artistique Alice sillonne le territoire à la rencontre des habitants pour questionner leur façon de se déplacer et leur rapport à la voiture : est-ce un objet de liberté ou de contrainte ?
Nourrit-elle des rêves ou des cauchemars ? Quelles alternatives se présentent à la bagnole ?
C’est autour de ces questions que la présence du Groupe Alice s’est organisée, entre échanges, débats, étonnements et pas de côté.
Le confinement soudain a placé Travel(l)ing dans une urgence, une crise sociale, qui interroge la question de la mobilité en milieu rural et notre rapport à la voiture individuelle. Au travers d’entretiens
avec des habitants aux horizons différents, le Groupe Alice se projette dans un futur devenu brutalement très concret pour écrire un spectacle de docu-fiction à la croisée du théâtre et du cinéma.
Depuis près d’un an, le Groupe artistique Alice sillonne le territoire à la rencontre des habitants pour questionner leur façon de se déplacer et leur rapport à la voiture : est-ce un objet de liberté ou de contrainte ?
Nourrit-elle des rêves ou des cauchemars ? Quelles alternatives se présentent à la bagnole ?
C’est autour de ces questions que la présence du Groupe Alice s’est organisée, entre échanges, débats, étonnements et pas de côté.
Le confinement soudain a placé Travel(l)ing dans une urgence, une crise sociale, qui interroge la question de la mobilité en milieu rural et notre rapport à la voiture individuelle. Au travers d’entretiens
avec des habitants aux horizons différents, le Groupe Alice se projette dans un futur devenu brutalement très concret pour écrire un spectacle de docu-fiction à la croisée du théâtre et du cinéma.