L’Orchestre Symphonique Région Centre-Val de Loire - Tours (OSRC-T) obtient depuis plusieurs années une reconnaissance aussi bien nationale qu’internationale, tant pour ses activités symphoniques que lyriques. Chaque concert proposé par l’Orchestre affiche complet et les musiciens reviennent pour vous proposer une nouvelle soirée musicale enchantée. L’OSRC-T est reconnu comme l’une des meilleures formations orchestrales françaises, de par la qualité de ses musiciens, l’originalité et la diversité de ses programmations. Depuis octobre 2020, l’Opéra de Tours et l’Orchestre symphonique Région Centre-Val de Loire sont placés sous la direction générale de Laurent Campellone.  

Le Masque de Sgnanarelle présente "La bonne planque". 

Julie s’est laissée embarquer malgré elle dans le vol de la recette d’un supermarché par Tania et Bonnie, deux filles peu recommandables. Pour échapper à la police, Tania et Julie se réfugient dans un appartement qu’elles pensent vide. Seulement, c’est l’appartement d’Antoine Perrin, un gentil célibataire un peu naïf passionné de karaoké. Afin d’éviter que le maître des lieux ne reçoive « un coup sur la cafetière », Julie se propose de l’embobiner. Elle est contrainte de s’incruster chez lui car l’immeuble est surveillé et impossible d’en sortir avec le butin... La situation se corse quand Carole, la volcanique voisine, maîtresse d’Antoine, ne le lâche pas, et que l’inspecteur Péquinet, meilleur ami d’Antoine et mari de Carole, décide de fouiller l’immeuble. Comme « bonne planque », on pouvait trouver mieux. 

Célèbre chanteur belge avec déjà 13 albums studio et lives solo, Marka, entouré de son groupe habituel rehaussé par 2 cuivres et 3 violons, joue des musiques de film qu’il a composées, des instrumentaux inédits, des incontournables de son répertoire soigneusement réorchestrés et l’un ou l’autre grand thème du cinéma. Pour le plus grand plaisir des spectateurs, Marka y dévoile ses aventures filmiques, son passé récent d’acteur, ses expériences ratées ou réussies, les métiers du cinéma qu’il a exercés. Mais, surtout, il se permet de rêver, d’outrepasser la réalité, en s’en inventant une autre... Comme au cinéma.