* Cette carte dématerialisée est valable de date à date sur l’ensemble des activités du Carreau du Temple. Tarif plein : 20 €/an, tarif réduit : 15 €/an.
Votre carte est rentabilisée dès l'achat de deux places de spectacles ou en adhérant à un cours collectif à l’année.
LES AVANTAGES DE LA CARTE CARREAU :
♦ 50% de réduction sur les spectacles en réservant quand vous le souhaitez (hors tarification spéciale)
♦ 10% de réduction sur toutes les activités associatives sportives et artistiques annuelles pour la saison 2020-2021
♦ 1 cours d’essai de sport gratuit
♦ 10% de réduction au bar du Carreau
♦ Possibilité de reporter votre place sur une autre date du même spectacle
♦ Tarif réduit sur les salons d’art contemporain sur présentation de votre carte (Galeristes, Drawing Now Art Fair, Urban Art Fair)
♦ Nombreux tarifs réduits tous les mois chez nos partenaires (spectacles, concerts, festivals, rencontres, ateliers et visites guidées) : La Gaîté Lyrique, le Théâtre National de Chaillot, le Théâtre de la Bastille, le Centre National de la Danse, La Colline, le Théâtre de la Cité internationale. Offre exclusivement réservée aux adhérents sur présentation de la carte Carreau.
Après UNDATED présenté au Carreau du Temple en 2019, Martine Pisani ravive ici la fraîcheur des débuts en écrivant un solo pour le formidable Christophe Ives. Une partition mêlée de théâtre et de danse, flirtant avec le mime et le clown où les attitudes incongrues, décalages cocasses, jeux entre les pleins et les vides, déplient l’univers burlesque contemporain de la chorégraphe.
Salle de spectacle | Tous publics | 50min
L’association CinéCaro propose, pour cette nouvelle saison, des fictions et des documentaires sur le thème des Tropiques.
Shimu, 23 ans, travaille dans une usine textile à Dacca, au Bangladesh. Face à des conditions de travail de plus en plus dures, elle décide avec ses collègues de monter un syndicat, malgré les menaces de la direction et le désaccord de son mari. Ensemble, elles iront jusqu’au bout.
Artiste majeure de la scène chorégraphique d’aujourd’hui, Maud Le Pladec s’entoure de six interprètes aussi talentueux·ses par leur capacité vocale que leur langage corporel pour réaliser une oeuvre puissante dédiée aux femmes compositrices. L’artiste interroge leur (non) place dans l’histoire de la musique, convoquant un somptueux « matrimoine » musical, du chant choral aux DJ sets de Chloé.
Salle de spectacle | Tous publics | 1h
UmWelt : Soliloque Jonglé
Homo Jonglisticus. À combien de générations faut-il remonter pour nous trouver des aïeux et aïeules non-humain·e·s, ou même, non-primates ? Lequel ou laquelle de ces aïeux et aïeules a inventé le pouce opposable pour les mains et les pieds ?Et surtout lequel ou laquelle a renoncé à celui des pieds… En tant que jongleur, je trouve que c’était une très mauvaise idée, et, afin de réparer cet affront, je décide aujourd’hui, de changer ma manière d’appréhender mon environnement et ainsi de devenir « le premier mammifère d’une nouvelle lignée de mammifères… de mammifères jongleur·euse·s ! »
Halle | Tous publics | 40min
Sorry, boys s’inspire d’un fait divers qui a défrayé la chronique d’une petite ville du Massachusetts en 2000 : 18 lycéennes de moins de 16 ans décidaient de tomber enceinte en même temps pour élever leurs enfants ensemble. Une pièce palpitante, dans le fond comme dans la forme, mis en scène par l’une des artistes les plus reconnues des arts de la marionette en Italie.
En partenariat avec Le Mouffetard dans le cadre de la BIAM
Salle de spectacle | 19h30 | Tous publics |1h15
morceaux de l’album Futures days du groupe allemand Can (rock progressif allemand des années 60). Quatre tableaux et autant d’ambiances correspondant à chaque morceau du disque, portés par une danse désinhibée et dynamique, entre composition hypnotique et chorégraphie géométrique aux lignes précises.
Salle de spectacle | Tous publics | 55min
Une pièce portée par trois danseur·ses et trois musicien·nes au plateau, où danse et musique s’auto-génèrent à l’unisson envers et contre les hiérarchies établies.
Interaction de l’humain avec son environnement ? Principes de reproduction et de réaction des cellules ? Ecosystème cellulaire ? La scène, vue comme un écosystème cellulaire, fonctionne selon des principes génératifs de réaction, de signalisation et de coopération entre les interprètes. The Game of Life propose ainsi l’expérience d’un jeu, une expérience qui incarne la porosité et la fragilité de nos corps traversés par le son et le mouvement.
Salle de spectacle | Tous publics | 50min