La tournée de HK & les Saltimbanks est terminée, le groupe est maintenant en pause. Mais, surprise, ils se produiront quand même à Paris pour une date exceptionnelle le samedi 21 décembre au New Morning. C'est leur cadeau de Noël pour leur public et pour soutenir l'association Kidibuzz qui a organisé leur tout premier concert il y a plus de 5 ans maintenant. L'équipe du Moki Bar, le fameux quartier général de Kidibuzz, prendra les commandes du bar du New Morning pour vous proposer des sandwichs et des bières à prix d'ami. Réservez votre place au plus vite, une occasion unique de voir ces saltimbanques sur scène avant un petit bout de temps, l'occasion également de soutenir Kidibuzz, « Programmateur Artisanal de Concerts Populaires ». Joyeux Noël !

HK dévoile ses utopies nomades, raconte les destins de personnes de toutes horizons - SDF roubaisiens, touaregs du désert algérien, musiciens chiliens, artistes de rue, militants du quotidien - croisés « sur sa route ». C'est ainsi que naît, début 2010, l'album « Citoyen du monde » et son titre phare « On lâche rien » chanson reprise dans les manifestations en France et bien au-delà (manifestations étudiantes de Montréal). Après voir sillonné la France, HK et les Saltimbanks reviennent en mai 2012 avec un album intitulé « Les temps modernes » en hommage à Charlie Chaplin. Chanter notre époque entre révolte et espoir, c’est le défi que s’est lancé le groupe. De nombreux artistes ont participé cette nouvelle aventure : Flavia Coelho, Karimouche, Souad Massi et MAP.

En première partie : Mr Aya & the Classics !
Mister Aya, auteur-interprète Reggae Ragga Dancehall, métisse Ch'ti-Guyanais, évolue dans la musique Afro-Caribéenne dés son plus jeune âge. Adolescent, il découvre le sound system ainsi que le mouvement Raggamuffin... Aujourd'hui, il nous présente son album avec le Classics Band : "Triste Réalité". Les classiques des rythmiques jamaïquaines servent d’écrin à des textes militants ou légers, relatant la vie dans Babylone (métaphore d’une société de consommation excessive) ou rendant hommage à la beauté des filles, le tout couronné par une section cuivre digne des plus grandes formations jamaïcaines.